"Pour Yôichi Komori, la paralysie de la pensée, l'oubli de l'histoire et la résignation à la violence peuvent certes offrir un lâche réconfort, mais ils constituent surtout une trahison de la littérature, dont le rôle, selon le critique est de fournir à ses lecteurs les mots pour comprendre le monde et leur propre personalité"
Michel de Boissieu, Le Magazine Littéraire N° 517